Les viticulteurs de toute la France rçoivent par mail, une enquête FranceAgriMer visant à quantifier les besoins en arrachages définitifs.
La position de l’UGVC avait été annoncée lors de la réunion du 09 juillet. L’UGVC invite fortement l’ensemble des viticulteurs à répondre à ce questionnaire, d’ici le 10 octobre. L’Union européenne doit à la filière et à la viticulture des compensations pour les pertes subies sur les marchés, qui doivent s’additionner au dispositif national d’arrachage.
L’enquête FranceAgriMer vise, en effet, à sonder l’intérêt des viticulteurs pour la reconduction éventuelle d’un plan national d’arrachage identique à celui de 2024/2025. Dans ce cadre, la prime d’arrachage définitif proposée était de 4 000 euros par hectare.
Suite à la mise en place du VCCI, l’UGVC, le BNIC et le SMC négocient avec les pouvoirs publics l’application de mesures d’accompagnement supplémentaires et les demandes portent notamment sur une aide à l’arrachage définitif pour ceux qui dans notre bassin seraient amenés à faire ce choix. Même si les 4 000 euros sur lesquels vous êtes interrogés, dans le cadre de ce questionnaire envoyé par FranceAgriMer, sont éloignés des objectifs attendus et si vous envisagez d’avoir recours à de l’arrachage définitif prochainement, n’hésitez pas à répondre à ce formulaire. |
Votre réponse ne vous engage en rien.
Si ce nouveau plan d’arrachage national devait être mis en place, vous pourrez décider ou pas ultérieurement, d’en demander officiellement le bénéfice au vu des compléments de prime que le BNIC espère négocier d’ici là.
L'invité de bleu la rochelle